En 2009, Simon Bailly rencontre Nadja Lauriot Prévost, alors étudiante en dernière année aux beaux-arts de Rennes. Elle lui propose de collaborer à son projet de fin d’étude « rencontre entre une focale, une danse et un motif ».
Cette première expérience marque le point de départ d’une recherche approfondie sur l’expression du mouvement à travers la peinture, le dessein et la gravure.
A l’automne 2014 ils s’installent dans un atelier à Pantin pour des séances hebdomadaires, deux années durant. Ce travail donne lieu à plusieurs accrochages en Île-de-France, et permet également à Simon Bailly d’affirmer son écriture du mouvement.
Cette collaboration se poursuit depuis l’implantation de la compagnie à Arles, actuellement Nadja produit les gravures qui accompagnent la création de Canti.